Première journée de travail burkinabée, (je mets un e volontairement !).
Les Ivoiriens sont arrivés à Ouaga à 5 heures du matin, après 35 heures de train sans couchettes ! Ils sont quatre, le Président que l’on appelle Petit Papa, Hamilton mon correspondant, Franck et Joseph. Epuisés, évidemment, mais contents de leur voyage qu’ils ont trouvé intéressant.
Nous rencontrons le matin un ancien Ministre, chargé des relations avec le Parlement, homme très influent encore qui accepte de parrainer la création d’une fédération burkinabée de scrabble. Ce Monsieur est très intéressé par la langue française, et sans être scrabbleur, trouve que la promotion de notre jeu est intéressante. Il lui suffit d’un simple coup de fil pour toucher les interlocuteurs que nos amis burkinabés ne parviennent pas à rencontrer. Un miracle !
Les Ivoiriens sont arrivés à Ouaga à 5 heures du matin, après 35 heures de train sans couchettes ! Ils sont quatre, le Président que l’on appelle Petit Papa, Hamilton mon correspondant, Franck et Joseph. Epuisés, évidemment, mais contents de leur voyage qu’ils ont trouvé intéressant.
Nous rencontrons le matin un ancien Ministre, chargé des relations avec le Parlement, homme très influent encore qui accepte de parrainer la création d’une fédération burkinabée de scrabble. Ce Monsieur est très intéressé par la langue française, et sans être scrabbleur, trouve que la promotion de notre jeu est intéressante. Il lui suffit d’un simple coup de fil pour toucher les interlocuteurs que nos amis burkinabés ne parviennent pas à rencontrer. Un miracle !

Les Ivoiriens offrent leurs cadeaux : deux pagnes pour moi, une plaque de remerciement pour la FISF, et une autre pour les burkinabés. Sympas !

Il est impossible de se balader dans Ouaga avec la chaleur qu’il fait. Je vais sûrement me contenter de ce que je vois au travers des vitres de la voiture ! Mais la ville paraît belle, et surtout très différente de celles que j’ai vues jusqu’ici. Les rues sont larges et propres, bordées de pistes cyclables. Il y a beaucoup d’arbres. Les magasins sont plus luxueux et aussi plus européens qu’ailleurs. Il y a de grands hôtels, des buildings modernes, et beaucoup de travaux qui annoncent une modernisation imminente.
Déjeuner en commun au restau. Nous ne sommes pas moins de 12 ! Les Ivoiriens affamés par leur voyage demandent à être resservis d’un deuxième plat de couscous ! Nous établissons le programme définitif de cette semaine de boulot qui commence cet après-midi par la rencontre avec le futur ministère de tutelle, de la jeunesse, des sports et des loisirs. Le Secrétaire Général est ouvert à notre activité qu’il dit pouvoir soutenir lorsqu’elle sera officialisée. A suivre…
Remise du matériel vers 17h30. Je suis inquiète encore à ce propos. Nous n’avons que la moitié de la cargaison. L’autre moitié voyagera seule par bus jeudi, et je redoute le passage de la frontière. Le volume est toujours très impressionnant, et je me demande bien comment nous allons transporter jusqu’au Mali les cartons des maliens et ceux des guinéens, soit environ 800 kg et 2 m3. Jusqu’au dernier jour, cette question du matériel m’aura enquiquinée ! Je ne serai vraiment soulagée que le jour où les guinéens repartiront chez eux avec leur cargaison.
Pour calmer mes inquiétudes et mes terribles chaleurs ( !) soirée piscine bienfaisante.